Péquignet

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Emile Péquignet, le fou des chevaux que les belles montres font « craqueler», s’est retiré des affaires en 2004, après 30 années pleines de richesses diverses et variées, pour confier la barre à Didier Leibundgut. Sous la nouvelle direction, la marque veut se profiler encore mieux et tenter de grimper un nouvel échelon.

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Le design original des modèles Mooréa Elégance, Caméléone, Sorelle et autres Lady place la marque en bonne position, mais alors que ses montres pour dames avec leurs bracelets interchangeables peuvent se mesurer aux pointures de l’horlogerie de luxe, ces messieurs peinent un peu à cause du chic très spécial des montres Mooréa.

Alors que cette montre, conçue autour d’un bracelet à deux rangs aux maillons ovales et aux éléments bombés en acier, caoutchouc et or, est bien équilibrée et se porte aisément dans chacune de ses différentes dimensions – même pour les hommes les plus récalcitrants. Entre-temps, il existe une nouvelle montre automatique avec un bracelet à trois rangs qui a fêté sa première sur Baselworld 2006, ainsi qu’un projet ambitieux d’un mouvement avec une platine ajourée, permettant d’admirer l’échappement.

La petite fabrique de Morteau, dans le Jura français, profite – comme beaucoup de firmes de la Suisse proche – du savoir-faire artisanal des habitants de la région, rompus de longue date à la fabrication de et bijoux. Didier Leibundgut cherche à mieux exploiter le potentiel des sertisseurs, orfèvres et autres maîtres horlogers de son entreprise, afin de parer la marque Péquignet d’une véritable philosophe du luxe. « Le produit de luxe est porteur d’un message, mais il faut un interprète talentueux pour être entendu et compris ».

Vidéo :

Site web : http://www.pequignet.com

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